Le hoquet est une violente contraction réflexe et rythmique (on parle de spasme) de deux catégories de muscles : d'une part le diaphragme qui est ce mince muscle large qui sépare le thorax de l'abdomen (et qui joue un rôle important dans la respiration), et d'autre part les muscles qui permettent la contraction de la glotte, qui est située à l'orifice du larynx (organe vocal principal creux situé à l'extrémité supérieure de la trachée) délimité par les cordes vocales. La plupart du temps, on attrape le hoquet de manière réflexe sans trop savoir pourquoi (souvent en mangeant) et on peut arriver à l'arrêter en réalisant une déglutition très lente (en buvant lentement un verre d'eau par exemple) ou en arrêtant de respirer. En médecine, et dans des cas rares, le hoquet est le révélateur de situations pathologiques dont certaines peuvent être graves, par exemple : dans certains cas d'encéphalites qui peuvent être à l'origine de compression intracrânienne ; dans certains cas de cancer de l'œsophage ; dans certains cas de troubles abdominaux au cours de maladies infectieuses comme par exemple la typhoïde.
Il est bien difficile de donner un sens physiologique précis à cette réaction réflexe.
Le hoquet est une violente contraction réflexe et rythmique (on parle de spasme) de deux catégories de muscles : d'une part le diaphragme qui est ce mince muscle large qui sépare le thorax de l'abdomen (et qui joue un rôle important dans la respiration), et d'autre part les muscles qui permettent la contraction de la glotte, qui est située à l'orifice du larynx (organe vocal principal creux situé à
l'extrémité supérieure de la trachée) délimité par les cordes vocales. La plupart du temps, on attrape le hoquet de manière réflexe sans trop savoir pourquoi (souvent en mangeant) et on peut arriver à l'arrêter en réalisant une déglutition très lente (en buvant lentement un verre d'eau par exemple) ou en arrêtant de respirer.
En médecine, et dans des cas rares, le hoquet est le révélateur de situations pathologiques dont certaines peuvent être graves, par exemple : dans certains cas d'encéphalites qui peuvent être à l'origine de compression intracrânienne ; dans certains cas de cancer de l'œsophage ; dans certains cas de troubles abdominaux au cours de maladies infectieuses comme par exemple la typhoïde.
Il est bien difficile de donner un sens physiologique précis à cette réaction réflexe.